Un demandeur d’emploi chez des lesbiennes sadiques et gynarchiques

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il y a 1 an

Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village. Le seul poste disponible est celui de femme de maison, il l’accepte et se retrouve chez deux lesbiennes gynarchiques.

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Avec sa voiture hors service, six mois de factures et loyers en retard à deux doigts d'être expulsé, Henri s'énerve à l'ANPE où il s'est rendu en bus en leur expliquant que pour ne pas se retrouver à la rue il est prêt à prendre n'importe quel travail dans son village.

  • La seule offre d'emploi sur votre commune est un poste de femme de maison et comme vous n'êtes pas une femme, je n'ai rien d'autre à vous proposer. Lui répond l'agent agacé.

Avec force et rage il parvient à convaincre la personne de l'ANPE de le laisser prendre contact avec cet employeur. Lors du rendez-vous, ce n'est pas une femme mais deux qui le reçoivent. Elles ne sont pas tendres avec cet homme âgé de 41 ans et le renvoient mais à force de persuasion, il parvient à convaincre ces très jolies femmes dégageant un certain magnétisme de lui faire faire un essai d'une semaine.

  • Je vous préviens, au moindre manquement, au moindre truc cassé vous êtes viré. Lui dit Carole, la plus virulente des deux.

Henri se doute bien en appuyant sur la sonnette à 7 heures avec une petite inquiétude que les deux femmes d'après-lui lesbiennes vont lui en faire baver. Sa plus grosse crainte est qu'elles aient changé d'avis, qu'elles soient désagréables ou de vraies connes, peu importe, pour lui l'important est d'avoir un travail.

Lorsque Carole la grande brune pulpeuse lui ouvre la porte, il mesure aussitôt à quel point cela va être difficile. Elle ne répond pas à son « bonjour », lui remet une liste de choses à faire puis un plan de la maison avec les endroits où il trouvera le nécessaire.

  • Je vous ai fait un plan sommaire de la maison avec des indications, car vous les hommes, ne seriez pas capables de trouver de l'eau à la mer ! Lui dit-elle en lui tournant le dos aussi sec.

Henri dépité, ne répond pas et décide de démontrer sa motivation pour le poste en se mettant immédiatement au travail. Pour ne pas les gêner dans leur intimité, il commence par le salon, chiffons et produits en main. Il fait les poussières avant de nettoyer les pieds des chaises de l'immense table de la salle à manger. Par-dessous la table, il aperçoit la fausse blonde mince et au corps superbement bien dessiné par la mère nature sortant de la douche complètement nue. « Oh, oh », se dit-il, si elles sont agressives et hautaines, ce n'est pas la pudeur qui les étouffe. Comme si de rien n'était et, convaincu qu'elles le provoquent pour le pousser à la faute, il s'atèle à la tache comme s’il n’avait rien vu.

  • Le café, c'est moi qui le fait ? Aboie presque Carole en entrant dans la pièce, vêtue d'un tailleur strict.

  • Non Madame, mais je ne voulais pas vous gêner dans votre intimité.

  • Quand on prend du personnel de maison, on est forcément gêné dans son intimité du con ! On ne te demande pas de réfléchir mais de travailler. Ca commence mal, fait ce que tu as à faire et ne t'occupes pas ne notre intimité.

  • Bien madame ! Répond Henri perturbé par l'agression. Passant aussitôt de « femme de ménage » à serveur de ces dames, il se rend à la cuisine pour leur préparer le café et mettre la table pour leur petit déjeuner.

  • Met-ça, pour servir, cela t'évitera de te tâcher. Lui dit France aux yeux d'un bleu profond en lui tendant un tablier avant de s'asseoir à table.

Comprenant qu'elles ont décidé de le tester, Henri subit sans broncher toutes les remarques humiliantes et va jusqu'à leur ouvrir la porte en leur souhaitant une bonne journée. Lorsqu'elles rentrent le soir, la maison est limpide, la table est mise, un petit plat mijote dans la cuisine.

« Ouahou, ça sent bon le propre » dit France avant que son amie Carole toujours aussi agréable ajoute « et ça pue la bouffe » Les filles font l'inspection puis, ravies, le félicitent ce qui le comble et surtout le rassure sur son avenir financier. Carole se rend à la salle de bain pendant que France allume son ordinateur pour surfer. Au bout d'un moment, Henri ne sait que faire car elles ne lui ont pas indiqué d'horaires. Carole le coupe dans ses réflexions en l'appelant de la salle de bain.

  • Oui Madame ! Lui répond Henri derrière la porte entrouverte.

  • Entre et vient me laver la tête !

Gêné, il hésite et n'ose entrer. Taper à la porte lui semble une solution pour éviter tout qui propos.

  • Entre du con, quand je t'appelle tu viens !

Immergée dans son bain, elle lui tend un champoing qu'il saisit aussitôt de ses doigts tremblants. Perturbé et penché sur elle, il entreprend de lui laver la tête quand soudain, elle lui intime l'ordre de se mettre à genoux pour épargner son dos. Rétorquant qu'il n'a aucun souci de santé, il poursuit le massage du cuir chevelu de cette brune pulpeuse qui sans aucune pudeur s'assoie soudain en lui dévoilant sa magnifique et généreuse poitrine.

  • Tu te mets à genoux ou je te vire sur le champ ?

L'envie d'appuyer brusquement sur sa tête et de lui faire boire la tasse lui vient mais il parvient à se contenir pour garder son emploi et s'agenouille. Une fois la tête lavée et rincée, elle lui demande de lui passer un démêlant puis de lui masser les épaules pendant que le produit agit. Si l'ambiance est pesante, toucher ce corps titille l'émotivité masculine.

  • Hummmm, je crois que l'on va vous garder si vous continuer d'obéir car vous massez très bien. Rincez-moi et séchez-moi ! Lui dit-elle en se levant d'un bon.

Envoûté, Henri ne sait plus où il en est devant cette femme d'une quarantaine d'années nue devant lui. Il règle la température de l'eau et la rince, puis passe avec beaucoup de précautions et de distance une serviette sur ce corps lui retournant littéralement les sens. Le pied sur le bord de la baignoire, Carole ne semble pas éprouver la moindre gêne en lui dévoilant son sexe glabre pendant qu'il sèche ses jambes. Elle s'appuie sur lui pour sortir de la baignoire avant de lui sécher l'autre jambe avec la même désinvolture.

  • Tu bandes ?

Cette question lui glace le sang, ne sachant que dire, il répond qu'il est gêné par la question. Ni une ni deux, elle plaque sa main sur son pantalon et constate qu'il n'est pas resté de marbre.

  • Vous êtes si belle que je suis ému mais je...

  • Tais-toi ! Crapule. Passe-moi mon peignoir et va nous servir une coupe de champagne, il y en a au frigo.

Sans demander son reste, c'est avec un certain soulagement qu'Henri quitte la salle de bain pour aller servir deux coupes de champagne qu'il apporte au salon. Carole appelle son ami et le jauge de la tête aux pieds.

  • Monsieur bande quand il me lave ! Dit-elle à l'arrivée de France mais il masse admirablement bien et fait ce qu'on lui demande sans trop rechigner. On va peut-être le garder.

Ne sachant que faire de ses mains, Henri les passe dans son dos comme un gamin devant son instituteur en baissant les yeux, très gêné par les révélations sur son érection.

  • Je t'ai dit d'aller nous servir une coupe de champagne, combien y en a-t-il sur la table ?

  • Deux Madame !

  • Nous sommes trois, sert-t-en une !

Henri la remercie et se sert une coupe.

  • Je vais t'expliquer les choses clairement mais écoute bien parce que j'ai une sainte horreur de me répéter. Tu as été embauché pour 35 heures, tu en feras sûrement le double voir plus mais je te payerai grassement la différence au black. Tu devrais percevoir entre deux et trois mille euros par mois si tu acceptes nos conditions. Tu seras également nourri, habillé et parfois logé. Tu travailles bien, tu masses bien et tu as l'air assez obéissant mais comme tu l'as constaté, nous ne sommes pas pudiques et on n'a rien à foutre que tu nous vois nues ou même en train de baiser. Ne rêve pas, tu ne risques pas de nous tringler, nous sommes cent pourcent lesbiennes. Par contre, que tu bandes me gêne alors si tu veux bosser ici, je veux que tu portes une cage de chasteté. Soit tu acceptes et nous trinquons, si tu refuses je te donne 200 euros pour ta journée et tu te casses. Trinquons-nous ensembles ? Lui dit-elle en plongeant ses yeux dans les siens comme pour l'hypnotiser.

Très mal à l'aise Henri ne sait que répondre, deux à trois mille euros par mois pour un travail proche de chez lui alors qu'il n'a même plus de voiture est la solution à tous ses problèmes, mais ces femmes lui posent un réel cas de conscience. Face à elles, ses valeurs semblent s'envoler, quelque chose d'indéfinissable génère en lui des émotions et sensations perturbant insidieusement ses pensées chaque fois qu'elles plongent leur regard dans ses yeux.

  • Je sais que tu es célibataire, mais as-tu une copine ? Lui demande France avec un regard envoûtant.

  • Non madame ! Répond Henri de plus en plus mal à l'aise.

  • Alors accepte mes conditions ! Lui dit Carole. Tu ne le regretteras pas et tu vivras avec nous une vie que beaucoup d'hommes rêvent d'avoir d'après mon ex-mari. Je compte jusqu'à trois, si à trois tu ne m'as pas répondu oui, pose ta coupe de champagne et casse-toi ! Un, deux ....

  • Oui madame, j'accepte ! Répond Henri à deux doigts de pleurer.

  • Trinquons alors à ton entrée dans la maison.

Si il savait ce qui l’attend, il fuirait comme vous le constaterez au chapitre deux qui est ICI

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Ces dames savent ce qu'elles veulent! Et ce qu'elle veut, une femme l'obtient toujours.
Intéressant comme histoire les 3 secondes à la fin sont terrible
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